Emmanuel Fournier


sera notre invité

le mardi 7 mars à 19 heures

à l’Adresse du printemps de septembre, 2 quai de la Daurade, à Toulouse

Carte blanche à contrat maint : rendez-vous 2.


Philosophe et dessinateur, Emmanuel Fournier est l’inventeur de la “méthode infinitive”, qu’il qualifie de façon “non finie” de penser, écrite dans une langue exclusivement constituée de verbes à l’infinitif, sans recours aux noms. De cette méthode, les quatre livres de Philosophie infinitive (L’éclat, 2014) ont marqué un point d’orgue, et la tonique Comédie des noms (qui vient de paraître chez Eric Pesty Editeur) prend le contrepied inattendu.

Emmanuel Fournier a raconté cette aventure infinitive dans deux textes “en morceaux préparés”, Les verbes de la désolation et Les verbes de la consolation, parus chez contrat maint.

Ces deux titres publiés simultanément suivaient un premier dityque, L’espace domino et Méthodes pour échapper à l’analogie, dans lesquels se faisait jour un autre axe de réflexion d’Emmanuel Fournier, sur l’espace et le montage, entre expulsion et attraction, où le cheminement et les sauts de la pensée s’appuient cette fois sur la structure des dominos et la façon de les assembler.

Par ailleurs, contrat maint a récemment publié deux (trois?) autres textes dont Emmanuel Fournier était également le maître d’œuvre : voir.

Emmanuel Fournier est aussi l’auteur de Creuser la cervelle, variations sur l’idée de cerveau (PUF, 2012), d’où la méthode infinitive n’est pas absente.

Photo: Méthodes pour échapper à l'analogie, montrées à la façon des dominos, de Emmanuel Fournier, contrat maint, 2008, par Françoise Goria.

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